"Quand on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini d'tourner !" fait dire Michel Audiard à Jean Gabin dans Le pacha. Les citations sur les cons sont légion. (Stop ! je vous arrête ! Je n'ai rien dit sur les légionnaires, je tiens à la vie. Vous pouvez continuer). Oui, pour celui qui n'a pas tilté (qui n'a pas été secoué !) comme j'ai dit je vous arrête, je vous dit que vous pouvez continuer... Sinon à quoi ça sert que je continue à écrire ?
Audiart aurait pu en écrire une autre. Il aurait pu faire dire à feu André POUSSE (ex cycliste) dans Les grimpeurs :"quand les cons produiront de la testostérone, tu seras maillot jaune !". Vous allez me dire que je fais une fixette sur le ricain. Ai-je écouté SARDOU aujourd'hui ?

Eh non ! Celui qui est passé dans mon autoradio aujourd'hui c'est Florent PAGNY. Là ou je t'emménerai se promène un peu partout mais moi je suis resté collé sur le mur. C'est tellement vrai (accent canadien à la Céline imitant Laurent GERRA) que quand les cons sont loin c'est plus facile d'aimer son prochain...
Un album qui s'écoute de A à Z (ou de 1 à 11 pour les matheux puristes !) et qui ramène le court Florent (eh oui, il est petit !) en haut de l'affiche.
Petit moment de plaisir supplémentaire : comme l'eau se souvient de Manset et Raphaël.
J'ai beau vouloir, Envers et contre moi, Je suis Désolé. Et si ça change un homme, à tout peser à bien choisir, vivons la paix.

Pour ceux qui ne se sentent pas capables de l'écouter parce que leur image va en prendre un coup, je vous donne la formule magique : ABRACADABRA.

Pas con hein ?

Bonne nuit les petits...